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Constat :
Depuis toujours, des milliers de jeunes africains, après leur baccalauréat, se trouvent complètement désemparés. Pour certains, ce premier diplôme universitaire sonne la fin d’un cursus scolaire normal ; l’enseignement universitaire étant un bourbier ou un labyrinthe inextinguible.
Plus de 90% d’un parent au moins des élèves en terminal n’ont pas fait des études supérieures. Plus de 75% des étudiants en première année n’ont pas d’aîné à l’université ou ayant fait des études supérieures. Si l’enseignement secondaire paraît linéaire, les études universitaires requièrent un choix qui fonde la carrière et l’avenir.
Les campus africains regorgent de plusieurs étudiants qui ont fait trois années en première année. Ces étudiants qui, généralement ne sont pas des déméritant, se sont confrontés à un problème de choix et ont « bâclé » une année universitaire, une carrière et peu être une vie. Après deux, voire trois années en stagnation universitaire, les jeunes abandonnent l’école supérieure, officine fondamentale pour la « fabrication » de la ressource humaine nécessaire pour le développement de nos pays. Seulement 15% (et parfois moins) des étudiants africains s’inscrivent dans les filières de leur choix. Au lendemain du baccalauréat, le flou s’installe dans la tête des aspirants à l’université qui finissent par faire un choix par tâtonnement c’est à dire sans passion réelle alors que « rien de grand ne sait fait sans passion ».
Comment orienter efficacement les jeunes africains dans le choix des filières universitaires ?
Objectif :
Guider l’apprenant dans ses dernières années des études secondaires à faire un choix propice et objectif suivant ses capacités, suivant ses vocations et suivant l’évolution du marché du travail.
Base :
La base de l’expertise est la constitution d’un dossier composé des bulletins de classe depuis la première année secondaire.
Une étude de dossier sera faite préalablement pour dégager les capacités de l’étudiant.
Puis, nous organisons trois entretiens par an avec l’étudiant accompagné de ses parents. Ces entretiens sont des séances de travail composées d’un échange oral, d’un atelier psychopédagogique et des projections vidéo. L’entretien oral vise à faire exprimer l’étudiant sur ses réelles vocations et envies professionnelles alors que les ateliers psychopédagogiques visent à évaluer ses capacités par rapport à ses vocations.
LES GRANDES ÉTAPES DE L’ORIENTATION SCOLAIRE:
Université Junior (UJ):
Après Bac :
Suivi universitaire :
L’Observatoire Panafricain pour l’Ecole et les Métiers propose aux étudiants, un suivi spécifique après leur inscription en faculté ou grandes écoles. L’objectif est de les guider dans les cycles et les orientés éventuellement dans le cadre des études à l’étranger. Outre, OPEM garde un suivi classique sur tous les étudiants dans l’élaboration de ses statistiques.
Formation des enseignants des Sciences et Technologies dans l’intégration de la pratique des laboratoires dans les programmes pédagogiques.
Consultant d’Écoles et d’Instituts Scolaires.
Formation d’Enseignants en nouvelles pédagogies et l’utilisation des TIC dans l’enseignement.
Consultant en Programme scolaire.
Formation en électromécanique et électricité et automation.