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CERTIFICATION OPEM 2023

Le samedi 12 août, L’école scientifique et technologique panafricaine OPEM a organisé la cérémonie de CERTIFICATION pour ses élèves ayant réussi aux examens officiels notamment BEPC, BAC 1 et BAC 2. Après les examens ci-dessus cités, ces élèves par groupe de deux ou trois ont réalisé des projets innovants qu’ils ont tour à tour, soutenus ce 12 août devant les parents, camarades et amis. Une fois encore, les élèves OPEM ont brillé par leur créativité. Parmi les projets présentés, on retrouve un groupe solaire autonome, un système d’arrosage automatique, une voiture télécommandée, une maison intelligente etc. Les lauréats ont reçu des mains du directeur général, leur certificat, démontrant qu’en dehors des brillants résultats obtenus aux examens officiels, les élèves OPEM démontrent une maîtrise des STEM (Sciences Technology, Enginerring et Mathematics). Rendez-vous en 2024 pour découvrir de nouvelles créativités dans cette école innovante.

Photo de famille des élèves OPEM certifiés 2023

Dr. AFANOU, DG OPEM

SOMMET SUR L’INNOVATION RDC – KINSHASA 29 au 30 nov 2022

Du 29 au 30 novembre 2022, AGROMWINDA et l’université catholique de l’Afrique de l’Est CUEA, ont conjointement organisé à Kinshasa en République Démocratique du Congo un premier sommet Panafricain sur l’innovation sociale. Plusieurs délégations de plus de 15 pays ont assisté à cette importante assise qui a mis en lumière les efforts faits pour apporter du nouveau dans le développement continental. La thématique la plus remarquée lors de ce sommet est « l’éducation ». Ce sommet était un rendez-vous d’échange et de partage. OPEM à été invité à titre exceptionnel pour partager son concept éducatif innovant avec les autres pays. Nous vous laissons ici en intégralité, la communication du DG OPEM.

Dr. Victor José AFANOU

LA MAÎTRISE 2022 A OPEM

L’enseignement à OPEM est une organisation spécifique, permettant aux apprenants de la 6ième Sciences et Technologies en Terminales, de maîtriser le savoir et de le matérialiser par les projets. L’école organise donc une semaine des projets en février-mars. Cette semaine se termine par une journée spéciale dénommée LA MAÎTRISE. Lors de son édition du 19 février 2022, LA MAÎTRISE OPEM a connu une affluence notoire. Des élèves, des parents d’élèves, des enseignants et différentes personnes du domaine de l’éducation se sont retrouvés à OPEM, sise nouveau marché de Baguida pour découvrir les réalisations des élèves d’OPEM.

Dr. AFANOU

DG OPEM

LA CERTIFICATION A OPEM

Le 28 aout 2021, l’Observatoire Panafricain pour l’École et les Métiers OPEM sise à Lomé au Togo a organisé sa prenière CERTIFICATION. Cette école scientifique et technologique panafricaine conçue pour le développement du Togo et de l’Afrique dispose d’un curricula spécial qui intègre le programme togolais et une partie du programme européen. Ainsi à OPEM, les élèves font du codage informatique (la programmation), la technologie et le laboratoire depuis la classe de 6ième. Suivez les prestations des élèves OPEM.

Certification OPEM 28 août 2021 – plateau TVT 1
Certification OPEM le 28 août 2021 – plateau TVT 2

OPEM CERTIFICATION : enhanced STEM to promot African development

CERTIFICATION OPEM 1 – August 28th at OPEM HQ

OPEM is Panafricain Science and Technology College based in Lome Togo in witch the education system is typicaly designe for Africian development.  OPEM curricula combine Togo program and European education program. Pupils of 15 years old of secondary school, form four, presented practice projects after their BEPC (the official assesment). On Saturday 28th Augest 2021 at OPEM HQ Lome Togo, three projets of CERTIFICATION OEPM 1 where presented in front of a jury and parents. These five pupils who have their BEPC with honor have developed engineering projets that haw warmly appreciated by the assistance.

Ryan and Ingrid have decided to program the school bell. This was done withing two weeks by ARDUINO.

Fidel decided to create an automatical garage when Ebenezer and Yannick have created a trafic light station.

These three projects based on design, modelisation and calculation show that OPEM’s students develope high STEM skills. During the coming three years they will improve their knowledge for the  CERTIFICATION OPEM 2. OPEM form African new scientistes for sustainable development.   

Dr. AFANOU – CEO OPEM

Cérémonie officielle de Certification des élèves OPEM

 Madame/Monsieur,

Classement Officiel des établissements après la proclamation des résultats du BEPC

L'élève Ryan en pleine préparation pour la présentation à la cérémonie du 28 Aout 2021
L’élève Ryan en pleine préparation pour la cérémonie du 28 Août 2021

L’école Scientifique et Technologique OPEM TOGO (Observatoire Panafricain pour l’Ecole et les Métiers) fait partie des premiers établissements secondaires suite au classement officiel après l’examen du BEPC. Cependant, les élèves OPEM ayant réussi avec mention, vous réservent trois surprises en matière de développement de projets technologiques. C’est dans cette perspective que la Direction de OPEM TOGO organise une cérémonie officielle de Certification à son siège au cours de laquelle les élèves auront à présenter une mini thèse (trois projets technologiques) devant un jury et les différents invités. Cette cérémonie aura lieu le Samedi 28 Août 2021 à 08H au siège de OPEM TOGO situé à côté du nouveau marché de BAGUIDA.

Ingrid et Ryan en pleine préparation

OPEM TOGO vous remercie d’honorer de votre présence à cette cérémonie.

KOFFI Ahlimbavi Odette, Assistante de Direction à OPEM TOGO

OPEM JUNIOR TECH 2ième édition du 2 au 7 août

OPEM JUNIOR TECH 2

Après le succès de la première édition, OPEM organise une seconde édition d’OPEM JUNIOR TECH du 2 au 7 août 2021. Six jours d’intense activité pour stimuler le génie scientifique des jeunes scolaire. Au programme, des ateliers de laboratoires de Physique, de Chimie et de SVT  avec pour chaque TP, des rapports de fin de manipulation ; une formation en Programmation sous SCRATCH, une initiation à la programmation orientée projet sous ARDUINO et enfin une initiation au DAO / CAO, Conception et Dessins assistés par ordinateur sous autoCAD.

Ces différentes activités sont ouvertes pour des élèves du CM1 en Terminale toutes séries confondues. L’objectif de cet évènement est de permettre aux jeunes de s’intéresser à la science et à la technologie, enseignée d’une façon plus pratique à OPEM.

Dr. AFANOU – DG OPEM

QUE VAUT LE BAC EN AFRIQUE EN 2020

Western and Central francophone countries continue to deliver Baccalaureate diploma to the youth at the end of grammar school (Lycée). Baccalaureate was introduced in these countries in 1963 by France.

Therefore, the curricula were based on the French program and African teachers were trained in France. Since 1995, France has made a large reform of grammar school curricula and the Baccalaureate degree. The reform was fundamental as the global word moves trough Industrial revolution to automation and robotic then to Internet revolution. 25 years later African francophone countries continue with the same structure of Baccalaureate 1963. 2020 and the development of Artificial Intelligence, France has started a new reform based on new curricula that will introduce in 2021, a new Baccalaureate structure. Are we going to keep the structure and the curricula of 1963 in francophone countries in Africa?


OPEM has developed a model of education system designed for Africa. The OPEM concept is to put African pupils in the same education environment as pupils in developed countries. This modern school, based at Togo (Lomé) can be scaled in different countries of the Continent. Teacher training, create lab materials, teaching of coding and technical drawing since JSS1, and project pedagogy are the main point of OPEM pilot school

Analyse Éducation et Développement Africaine par Dr. AFANOU
Concept Bac scientifique par Dr. AFANOU
EBENEZER DAO

EDUCATION AFRICAINE

QUE VALENT LES BAC A4, C, D, E, F, G EN 2020 ?

L’enseignement moderne africain est basé sur le modèle du pays colonisateur. Depuis les périodes de la colonisation, puis des indépendances, les pays africains colonisés par la France, adoptent un système éducatif purement calqué sur le modèle français alors que la RDC, le Rwanda et le Burundi adoptent un système éducatif basé sur le modèle belge. C’est ainsi que dans plusieurs pays comme le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Togo, le Bénin, le Gabon, etc. les élèves du collège passent le BEPC à la fin de leur premier cycle secondaire et le BACCALAUREAT à la fin du lycée. Ce baccalauréat donc de source française, correspondait  au niveau 3 du CITE (Classification Internationale Type de l’Etude) : un baromètre de l’UNESCO mis en place depuis 1975 et qui est régulièrement actualisé en raison de l’évolution de la notion de l’éducation scolaire. Obtenir le Bac, permettait donc de se situer aussi peu soit-il, sur une échelle universelle de l’éducation.  Avec ses différentes séries A4, C, D, E, F, G et Ti, ce premier grade universitaire constitue le « passeport » donnant accès aux facultés et aux grandes écoles, mais également au marché de l’emploi. Les premières sessions du baccalauréat général se sont déroulées au début des années 60 sur le continent africain.

Le système éducatif est une entité vivante, qui évolue et s’adapte au temps et à l’espace. Le système éducatif mis en place en Afrique par les pays colonisateurs n’était pas de nature à développer nos pays. La philosophie, la mission, le concept et le projet éducatif n’avaient rien de comparable à ce qui se passe dans les pays dits industrialisés.

La réforme du système éducatif, est un domaine déterminant pour les ministères de l’éducation et les décideurs politiques des pays développés, car toute l’existence de ces pays se repose sur leur potentialité d’industrialisation, c’est-à-dire leur capacité d’apporter la plus value à la matière première et de trouver des solutions idoines à chaque difficulté que pose la nature. Cette capacité qui caractérise ces pays dits développés, ne devient effective qu’à travers la technologie qui, elle-même ne trouve sa source que dans un enseignement de qualité. Afin de garder leur avancée technologique, les pays développés anticipent sur leur système éducatif pour former une ressource humaine constamment en phase avec l’évolution alors que l’Afrique trébuche dans les méandres d’une éducation méphitique.

LA DESUETUDE DES BACCALAUREATS AFRICAINS AU 21ième SIECLE :        

Depuis 1995, la France a supprimé les baccalauréats A4, C, D, E, F et G. Le nouveau système du baccalauréat français est réparti en différentes voies. Ceux et celles qui suivent la voie  générale se préparent pour les Bac S (scientifique), ES (Economique et Sociale) et L (littéraire) alors que la voie technologique prépare pour les Bac ST qui remplacent les séries F et G de l’ancien système.

Depuis 25 ans l’enseignement secondaire des pays africains qui, n’était déjà pas en phase avec l’évolution universelle, se voit décalé par rapport à la base référentielle qui était le Bac français.

  • Quel ouvrage de formation ?

Les livres de Mathématique, de Physique et Chimie etc. utilisés en général dans les lycées de l’Afrique francophone étaient largement les mêmes que ceux utilisés en France. Depuis la réforme de 1995, plusieurs éditions comme Since et Garrabos, Delagrave etc. n’éditent plus des livres pour les séries C, D et E. Tous ceux qui ont passé un baccalauréat A4, C, D et E en Afrique connaissent l’importance des annales : ces petits livres édités en Math, Physique-Chimie, Sciences Naturelles, Littérature et même en Philosophie, qui étaient de réels outils de préparation du Bac. Ces livres regroupaient des épreuves passées à Lille, à Bordeaux, Marseille, Paris, Québec etc. Depuis la réforme française du Bac, ces annales ne sont plus éditées. La question est de savoir : avec quel ouvrage l’Afrique francophone continue à former des détenteurs du BAC et quel est le niveau CITE de ces bacheliers ?       

  • Quelle formation suivent les formateurs ?

Les formateurs et les formateurs des formateurs africains partaient souvent en France suivre différentes formations d’ordre pédagogique suivant les différentes séries des lycées ; Quelle formation suivent aujourd’hui celles et ceux qui dispensent des cours dans les lycées africains non reformés ?

2021 : LA NOUVELLE REFORME DU BAC FRANCAIS

Les nouvelles donnes de l’évolution universelle conduisent les autorités éducatives françaises à lancer une nouvelle réforme du baccalauréat qui sera mise en œuvre  normalement en février 2021 et lancera une nouvelle organisation non seulement de l’examen du baccalauréat mais également de l’enseignement au lycée, afin de former des vrais scientifiques / littéraires, adaptés aux études supérieures. Le monde évolue ; l’école et le système éducatif doivent s’adapter avec le temps.

En effet, alors que les élèves français sont habitués au système de séries, le BAC à partir de 2021 en France sera largement réformé avec l’apparition des spécialités. Selon le ministère de l’éducation nationale, le nouveau baccalauréat redonnerait au baccalauréat son sens et son utilité avec un examen remusclé et un lycée plus simple, plus à l’écoute des aspirations des lycéens, pour leur donner les moyens de se projeter vers la réussite dans l’enseignement supérieur. Le lycéen est ainsi invité à faire des choix de spécialités. Le BAC à partir de 2021 reposera sur une part de contrôle continu et pour une autre part sur des épreuves terminales.

Il y a 25 ans, le monde découvrait Internet qui a précédé la robotique et l’automatisation. Durant ces trois voire quatre dernières décennies, la société, les entreprises, l’humain, le comportement humain et sa façon de penser ont considérablement changé. Mais quand on est engagé dans le développement ou quand on est décideur politique ou éducatif, il convient de se demander quelles seront les projections du monde pour les trois voire quatre décennies à venir afin d’orienter le système éducatif pour préparer les jeunes à faire face aux défis de demain. Cette nouvelle orientation de l’éducation doit anticiper sur les bases des compétences qui feront le monde de demain. Allons-nous continuer en Afrique à délivrer des BAC A4, C, D, E, F et G, déjà dépassés depuis 25 ans, aux jeunes africains les années à venir ?

UN SYSTEME EDUCATIF PROPRE AU CONTINENT AFRICAIN

L’Afrique traverse une crise éducative plus catastrophique que la crise de démocratie.

Avec une population de 1,3 milliard d’habitants dont plus de 60% ont moins de 30 ans, l’Afrique s’expose à de graves cirses socio économiques dans un avenir proche. Cependant, le contient traine un système éducatif impropre, inadapté et non maitrisé alors que le monde évolue et les pays développés s’éloignent de jour en jour avec leurs capacités technologiques de plus en plus performantes. L’Afrique doit arrêter de suivre le modèle occidental et poser les bases de ses propres besoins en matière de l’éducation pour un développement endogène et une autodétermination. L’avancée technologique spectaculaire de la Chine durant ces dernières décennies est largement due au fait que les Chinois ont défini leurs besoins et réorienté d’une façon spécifique leur système éducatif, leurs universités, leurs centres de formation et de recherche. Singapour, Shanghai, Hong-Kong, Taipei, Macao et la Corée du Sud sont aujourd’hui des lieux de développement de l’éducation pas excellence.  Les pays africains n’ont pas la ressource  humaine ni le savoir faire nécessaire pour transformer les innombrables ressources minières et agricoles en produits finis. Ils n’ont pas la capacité de conduire des projets de grande fabrication et doivent toujours demander des services externes. Quand (est ce que) le Contient africain se lancera-t-il dans la fabrication 100% d’une moto, une voiture, un métro, un train, un avion etc. ?     

LE CHANGEMENT DE PARADIGME

Le système éducatif africain est loin de répondre aux besoins du Continent en produisant la ressource humaine capable de relever les défis de demain, mais ce qui est plus catastrophique c’est qu’on a l’impression que les responsables et les décideurs politico éducatifs n’en sont pas conscients. Ils se contentent de gérer ce qui existe.  Le problème africain est mental avant tout. Loin de tous les autres continents, les systèmes éducatifs africains conduisent l’apprenant dès l’école maternelle à sortir de lui-même en se projetant vers l’Occident. L’école africaine est centrée sur l’extérieur loin des exigences et de la culture africaine. Notre école est une expression de l’incapacité de conduire un développement endogène. Un enseignement de qualité est un choix qui a son prix. Si vous choisissez la performance, vous devez investir. Si vous ne voulez pas investir, vous resterez à la traine pour toujours. L’école africaine a besoin d’une réforme profonde qui prendra sa source dans la reconfiguration mentale de l’Africain : retour de la pensée sur l’Afrique, suivre un cursus scolaire performant en Afrique et construire son projet de vie sur le continent. Un enseignement de qualité est basé sur trois paramètres :

  1. L’expertise : la formation des formateurs (sur les) aux nouvelles techniques d’enseignement, les fondements de la science, les nouvelles technologies et le développement des projets propres au Continent est indispensable pour relever l’enseignement en général et l’enseignement scientifique en particulier sur un continent qui doit orienter la plus grande partie de sa ressource humaine vers les Sciences et la Technologie. La capacité de recherche et d’implémentation des connaissances est une caractéristique des formateurs capables de redéfinir l’éducation africaine. Cependant, pour la plus petite initiative de formation des enseignants, il faut élaborer un projet et chercher des ONG ou du financement auprès des partenaires ou des bailleurs. Quand (est ce que) les pays africains vont-ils consacrer une partie conséquence de leur PIB pour le développement de l’éducation ?
  2. Le curricula : les matières et leurs contenus évoluent et déterminent la qualité de l’éducation. Les matières doivent être définies par rapport aux besoins locaux de développement. La liste des matières et leurs contenus constituent des éléments fondamentaux pour la redynamisation de l’enseignement africain. Cependant les décideurs ne prennent pas l’initiative, ils attendent qu’une décision vienne de l’extérieur sur ce qu’ils sont appelés à faire.
  3. Le matériel pédagogique : l’enseignement africain demeure terne et austère depuis les cours maternels où on retrouve un attroupement d’enfants dans une salle de classe, récitant à longueur de journée, des textes qu’ils ne comprennent pas, et qui ne reflètent guère leur vie quotidienne, dans une pédagogie qui inhibe l’activité cognitive, la stimulation de la RE FLEXION et de l’analyse critique, le jugement personnel, la remise en question et les démarches scientifiques de recherche active de solution. Cet enseignement plat et purement théorique se normalise malheureusement en Afrique. La moindre initiative visant à acquérir les matériels de laboratoire, demande l’élaboration d’un projet, la recherche des ONG ou du financement auprès des partenaires ou des bailleurs. Personne ne se mettra au service du développement d’un enseignement de qualité en Afrique si ce ne sont les africains eux-mêmes.  

OPEM : LE MODELE PANAFRICAIN D’UNE ECOLE NOUVELLE

Enseignement moderne : Un élève de 4ième Sciences et Technologie OPEM TOGO en séance programmation ARDUINO

Après 18 années de recherche sur l’Ecole et le Développement en Afrique, OPEM (Observatoire Panafricain pour l’Ecole et les Métiers) est un concept éducatif qui greffe le programme d’enseignement national sur celui développé dans les pays industrialisés. Le curricula et le contenu sont spécifiquement conçus afin de permettre à l’apprenant de suivre certains cours au Togo de manière identique à ce qui est donné à Bruxelles ou à Paris. Les élèves sont appelés à passer les diplômes officiels nationaux, combinés avec une certification OPEM. L’ensemble de cette évaluation conduira à un diplôme spécifique africain : le BA (Baccalauréat Africain).  Cet enseignement qui inhibe les frontières, demande une formation exceptionnelle et continue des formateurs, un équipement de laboratoire et de matériels pédagogiques afférents afin de mettre les élèves africains dans le même environnement que leurs homologues des pays industrialisés. Depuis la classe de 6ième Science et Technologie, les élèves OPEM font de la programmation, du dessin technique sur autoCAD et des laboratoires de physique et chimie. Le système éducatif, spécialement configuré est organisé avec la pédagogie de projet. Les acquisitions des compétences sont palpables dans ce nouveau concept éducatif qui formera les vrais scientifiques dont l’Afrique a besoin.  

Enseignement moderne : Un élève de 2nde Sciences et Technologie OPEM TOGO en séance de Labo physique

Dr. Victor José K. AFANOU

Chercheur sur le Système Educatif Africain – DG OPEM

Auteur et Consultant en Pédagogie et Système éducatif

www.africadeveloppement.org

contact@africadeveloppement.org